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La presse en parle

jeudi 15 octobre 2015

Le Jeu d'Adam dans Medioevo romanzo

Medioevo romanzo


Le Jeu d'Adam - Christophe CHAGUINIAN Le Jeu d'Adam - Christophe CHAGUINIAN
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dimanche 11 octobre 2015

Sur Mag'centre... Lassi Nummi

Mag'centre


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mercredi 2 septembre 2015

The Border Errant: La poésie de Jaan Kaplinski (article du 7 août 2012) : Un jour ce poète Estonien sera lauréat du prix Nobel !

Jan Kaplinsky

Le poète estonien Jaan Kaplinski a été salué par la critique comme «une nouvelle lumière dans la galaxie européenne". Jaan Kaplinksi est né à Tartu, en Estonie (la Ville de bonnes pensées) en 1941 d'une mère estonienne et d'un père polonais. Son père est mort dans un camp de travail soviétique tandis Jaan était un jeune garçon. Cette perte primitive semble avoir conféré une conscience aiguë de la mortalité et de la fragilité de la vie. Il a vécu à travers l'occupation russe et allemand, la guerre froide et la mise en place éventuelle de l'indépendance des républiques baltes. Il a lui-même servi dans le gouvernement.

par PGR Nair

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Le poète estonien Jaan Kaplinski a été salué par la critique comme «une nouvelle lumière dans la galaxie européenne". Jaan Kaplinksi est né à Tartu, en Estonie (la Ville de bonnes pensées) en 1941 d'une mère estonienne et d'un père polonais. Son père est mort dans un camp de travail soviétique tandis Jaan était un jeune garçon. Cette perte primitive semble avoir conféré une conscience aiguë de la mortalité et de la fragilité de la vie. Il a vécu à travers l'occupation russe et allemand, la guerre froide et la mise en place éventuelle de l'indépendance des républiques baltes. Il a lui-même servi dans le gouvernement.

 

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par PGR Nair

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Jaan KAPLINSKI - Raske on kergeks saada / Difficile de devenir léger Jaan KAPLINSKI - Raske on kergeks saada / Difficile de devenir léger
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lundi 31 août 2015

Les chemins de Saint-Gilles en pratique dans La Croix

Pour participer au pèlerinage avec l’Association des Chemins de saint Gilles, il faut adhérer à l’association (25 € pour les adultes, 10 € pour les enfants de moins de 18 ans). Le prix de la participation à une « route » varie ensuite selon les itinéraires, de 45 à 90 €. Les organisateurs se chargent de trouver des hébergements, de préparer des repas et de transporter les bagages en camionnette.

RENS. : Contacter l’association à l’évêché de Nîmes, 3, rue Guiran, BP 1455, 30017 Nîmes Cedex. Sur Internet : www.cheminsstgilles30.cef.fr

E-mail :asso@cheminsstgilles30.cef.fr Tél : 04.66.26.84.57.

LIRE

Pour en savoir plus sur saint Gilles et le pèlerinage, les différents ouvrages de Marcel Girault représentent une source importante : La Vie de saint Gilles, éditions Lacour-Ollé, 1987, 22 € ; Les Chemins de saint Gilles, éditions Lacour-Ollé, 1990, 18,29 € ; Le Chemin de Régordane, ancienne route d’Alès au Puy, éditions Lacour-Ollé, 1988, 20 €.

L’historien a également écrit, en collaboration avec son fils, Pierre-Gilles Girault : Visages de pèlerins au Moyen Âge – Les pèlerinages européens dans l’art et l’épopée, éditions Zodiaque, 2001, 45 € ; Livre des miracles de saint Gilles, éditions Paradigme, 2007, 28 €. Pour contacter Marcel Girault : marcelgirault@yahoo.fr

Il existe un topo-guide du GR 700, le chemin de grande randonnée dont le tracé s’inspire du chemin de saint Gilles à travers le Massif central. Édité par la Fédération française de randonnée, il couvre l’itinéraire du Puy-en-Velay à Saint-Gilles, soit 240 kilomètres. On peut le commander sur le site Internet de la fédération : www.frandonnee.fr. Prix : 15 €.

SUR LE CHEMIN

L’entrée dans l’abbatiale de Saint-Gilles est libre, seul l’accès à l’église basse (3 €) et à l’ancien chœur (3 €) est payante. Des visites guidées sont organisées.

Rens.  : office de tourisme de Saint-Gilles, 1 place Frédéric Mistral, 30800 Saint-Gilles. Tél : 04.66.87.33.75. E-mail : ot-saint-gilles.fr

Site web : www.tourisme.saint-gilles.fr

Des visites guidées du village de Vézénobres sont organisées, ainsi que des balades ludiques en famille. Office de tourisme : les terrasses du château, 30 360 Vézénobres .

RENS. : 04.66.83.62.02

Site web :www.vezenobres-tourisme.fr E-mail :contact@vezenobres-tourisme.fr

 

 

 


Livre des miracles de saint Gilles - Marcel et Pierre-Gilles GIRAULT Livre des miracles de saint Gilles - Marcel et Pierre-Gilles GIRAULT
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lundi 1 juin 2015

La lógica del tuit y nuestra era Por JOSÉ MÁRMOL


En distintas ocasiones y por diferentes medios he sustentado que la poesía escrita en el contexto cultural dominicano -contexto que se debate en la ambigüedad de un culto por manifestaciones de antigualla y un tirón contrario que apuesta a la posmodernidad- ha ido ganando espacio en editoriales internacionales importantes, tanto en lengua española como, ocasionalmente, en otras lenguas.

Dos ejemplos muy recientes han llegado a mis manos. Por un lado, la publicación del poemario compuesto de Plinio Chahín (1959), bajo el título de Sin remedio, seguido de La consumación de la carne , a cargo del prestigioso sello Amargord Ediciones y su colección de Autores Dominicanos, que dirige el poeta y editor León Félix Batista; por el otro lado, la publicación bilingüe de Sueños isleños.

Rêves insulaires  de Basilio Belliard (1966), antología traducida por Catherine Pélage y Françoise Morcillo, y publicada por Éditions Paradigme, Orléans, Francia, en la colección Passerelles en Poésie, dirigida por Yves Avril. Como antecedentes importantes en el ámbito de las traducciones europeas podríamos recordar las dos antologías de la poesía dominicana publicadas por el destacado crítico francés Claude Couffon, como también las diversas publicaciones antológicas y de autores en particular, en lengua italiana, dadas a conocer como parte de la invaluable labor que a favor de nuestra literatura lleva a cabo el catedrático de la Universidad de Milán y conocido escritor Danilo Manera.

El volumen  Sin remedio, seguido de La consumación de la carne  contiene un texto inédito del poeta y crítico Plinio Chahín, que hace la primera parte, y la reaparición de su celebrado poemario  Consumación de la carne , su ópera prima, cuya edición original data de 1986.

En el poema  Sin remedio , de mediana extensión y aliento sostenido, Chahín retoma, de manera más frontal y a la vez radical, el tema de la muerte como una afrenta ante el goce de su opuesto, la vida, partiendo de un doloroso acontecimiento que le marca muy hondamente en su experiencia amorosa vital. Confiesa a la poeta Soledad Álvarez, a través de una conversación digital, que ese poema es la culminación del éxtasis como imposibilidad ontológica de absoluto. Del amor como descristalizacion del infinito y su deflagración.

Espacio libre contra la muerte que fuerza y arrastra, que pasa sin dejar nada. Posibilidad suprema de la muerte, el tiempo suspendido, siempre recomenzado, el existir mismo, en su ex, como diría Heidegger . Un texto, dice,  escrito desde el dolor, pero, con pasión y alegría  una celebración del deseo y el placer, a través de un lenguaje desgarrado . En este nuevo poema, Chahín mantiene la hondura conceptual y la brillantez de los hallazgos expresivos que le han caracterizado.

La antología   Sueños isleños. Rêves insulaires   de Belliard tiene, por su parte, dos presentaciones. Una del poeta uruguayo Rafael Courtoisie; la otra, de la traductora y profesora latinoamericanista de la Universidad de Orléans, Catherine Pélage.

Courtoisie resalta de Belliard la dimensión sensorial de su poesía, el erotismo y el tratamiento particular del sueño como constantes de su sólida personalidad poética, en cuya escritura coexisten profundidad y ligereza o agilidad de estilo.

Pélage, por su parte, destaca en la poesía de Belliard la forma en que explora los espacios, los sentidos y el ritmo de la isla. Poesía caracterizada por superar la frontera de los géneros; por su permeabilidad; por el hallazgo de formas geométricas y genéricas confundidas, donde el poema deviene, por igual, expresión musical o pictórica.

Es, pues, la persistencia de la poesía que se empecina en mostrar, aun en tiempos de penurias, precariedad ética, incertidumbre y sin sentido, lo mejor de la dominicanidad.

 

 


Basilio BELLIARD - Sueños isleños / Rêves insulaires Basilio BELLIARD - Sueños isleños / Rêves insulaires
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mardi 17 mars 2015

Corsaire a 20 ans

20 ans


mardi 11 novembre 2014

Georges JOUMAS évoque Louis Gallouédec, un maire pendant la Grande Guerre

Dimanche et lundi, la salle des fêtes de Saint-Jean-de-Braye, a accueilli la conférence de l'historien Georges Joumas, ancien professeur d'histoire-géographie, docteur en histoire qui a passé sa thèse à l'université d'Orléans sur Louis Gallouédec, maire abraysien durant la Première guerre mondiale.

Reprenant en grande partie sa thèse de 2005, le sujet n'a pas pris une ride. Quel a été l'impact du premier conflit mondial sur la commune abraysienne ? Avec 446 mobilisés et 93 morts abraysiens (dont le sculpteur Henri Gaudier-Brzeska) la guerre a aussi été l'affaire de ceux restés à l'arrière des combats.

C'est le cas pour Louis Gallouédec, édile depuis 1912, professeur de géographie à Orléans. Reconnu pour ses recherches et responsable de collections chez Hachette à Paris, Gallouédec, dans ses fonctions de maire, lutte contre la diffusion des rumeurs et la sinistrose dans sa commune, installant un hôpital pour accueillir les blessés du Front à la Pomme de Pin. Il lance la construction des usines d'armement Ambert ainsi qu'un « marrainage » avec la ville de Laventie (Nord-Pas-de-Calais) sinistrée par les combats.


LOUIS GALLOUÉDEC, 1864-1937 : géographe de la IIIe République - Georges JOUMAS LOUIS GALLOUÉDEC, 1864-1937 : géographe de la IIIe République - Georges JOUMAS
19,00 €




samedi 6 septembre 2014

Le Jeu d'Adam : l’édition de Chaguinian nous livre un bon texte avec une mise en place intéressante.

Cahiers de recherches médiévales et humanistes
Journal of medieval and humanistic studies


Le Jeu d'Adam - Christophe CHAGUINIAN Le Jeu d'Adam - Christophe CHAGUINIAN
25,00 €




mercredi 30 avril 2014

Photocopier dans le respect du droit d'auteur, c'est soutenir la diversité de création !

index cfc

copyrights


lundi 10 février 2014

QUELQUES LETTRES DE VOLTAIRE, un article de Madeleine BOUVET dans Le Coin de Table, la revue de la poésie

Voltaire est certainement reste le plus abondant de nos écrivains, comme en témoignent ses 6 784 entrées au catalogue informatique de la  Bibliothèque Nationale de France (Victor Hugo en a 6 292). Parmi toutes ses œuvres fort diverses, sa correspondance tient une part considérable. Elle a été réunie entre 1953 et 1965 par Théodore Besterman en  105 volumes, dont cinq d'index, et une édition « définitive » en a été publiée après 1968 dans l'édition monumentale de ses œuvres complètes. Depuis, on a retrouvé diverses lettres alors inconnues et on vient de publier cette « correspondance inédite », en v ajoutant quelques lettres jusqu'ici mal éditées. On ne trouve pas de découvertes extraordinaires dans ces 48 lettres a 35 correspondants différents qu'accompagnent 30 lettres envoyées a Voltaire par 17 correspondants entre 1723 et 17~'8, soir, en tout, 78 lettres. Mais ces documents sont extrêmement bien présentés et commentés et le lecteur curieux que l'érudition ne rebute-pas, apprend beaucoup sur Voltaire, sur ses correspondants et sur leur temps grâce aux notes abondantes et minutieuses de cet ouvrage.

Lire la suite...


UN JEU DE LETTRES - Voltaire UN JEU DE LETTRES - Voltaire
45,00 €




samedi 18 janvier 2014

Littératures en mutation, Françoise Morcillo, Catherine Pélage

Fabula


LITTÉRATURES EN MUTATION, Écrire dans une autre langue - Françoise MORCILLO, Catherine PÉLAGE LITTÉRATURES EN MUTATION, Écrire dans une autre langue - Françoise MORCILLO, Catherine PÉLAGE
25,00 €




mercredi 18 décembre 2013

Publié en Tchèque : Le Dandynisme littéraire en France au XIXe siècle : Literarni Dandysmus 19.stoleti ve Francii aux Éditions Karolinum

Literarni Dandysmus

Paru en 2013 aux Éditions Karolinum, Prague, traduit en tchèque par Alena Lhotova.


LE DANDYSME LITTÉRAIRE EN FRANCE AU XIXe SIÈCLE - Karin BECKER LE DANDYSME LITTÉRAIRE EN FRANCE AU XIXe SIÈCLE - Karin BECKER
19,00 €




mardi 19 novembre 2013

Ouvertures & limites de l'anthropologie médiévale par Corinne Denoyelle

document8217


Mimétisme, violence, sacré : approche anthropologique de la littérature narrative médiévale Mimétisme, violence, sacré : approche anthropologique de la littérature narrative médiévale
34,00 €




lundi 7 octobre 2013

Une longue critique dans la Revue critique de Philologie romane de l'Université de Zurich

MIMÉTISME, VIOLENCE, SACRÉ Approche anthropologique de la littérature médiévale, études réunies par Hubert HECKMANN et Nicolas LENOIR, Orléans, Editions Paradigme, 2012 (Medievalia n° 78) 218 pp.

     Le tesi antropologiche di René Girard hanno ottenuto da ormai qualche an-no gli onori del riconoscimento délie neuroscienze. La célèbre teoria dei neuro-ni specchio, messa a punto dall'équipe dell'Umversità di Parma guidata da Vittorio Gallese e Giacomo Rizzolati' ha confermato la tesi girardiana del deside-rio mimetico esposta in Mensonge romantique et vérité romanesque1 e in La violence et le sacré3.
     Nonostante la fama mondiale, la figura di Girard è rimasta piuttosto ai mar-gini del mondo accadcmico francese: gli studi presso l'Ecole nationale des Chartes, una carricra svoltasi ncgli Stati Uniti, la radicalità délie sue teorie, tutto ciô ha contribuito a farne un personaggio non molto noto in Francia e solo nel 2005 è stato eletto membro dcll'Académie Française.
     Questo volume, che raccoglie gli atti di un convegno organizzato dal 'Centre d'Etudes et de Recherche Editer/Interpréter' dell'Università di Rouen e svoltosi a giugno 2009, dà voce al crédite di cui la teoria antropologica di Girard ha cominciato a godere negli ultimi tempi e si propone soprattutto di rimediare alla scarsa considerazione di cui essa è stata oggetto negli studi di medievistica. È stato chiesto a un gruppo di studiosi di letteratura médiévale di verificare le ipotesi girardiane su alcuni testi narrativi del xii e xm secolo, allô scopo di metter-ne in luce le possibilità crmcncutichc, corne i lirniti.
     Il pensiero di Girard puo, corne ogni pensiero radicale, essere condensato in poche parole chiave, addirittura trc: irnitazione, violenza, sacro. Alla base di ogni forma di cultura ci sarebbc pcr Girard il processo rnirnetico, tratto urnano per eccellenza, corne Aristotele aveva intuito. Se gli uomini smettessero improvvisamente d'imitare, dicc Girard, ogni forma culturale scomparirebbe4. Il desiderio é scmprc un dcsidcrio mimetico, mediato, mai scaturito primariamente da un oggetto, ma da un modello-rivale, in quella che diventa una lotta di tutti  contre» tutti, dovc i legami sociali sono minacciati dal caos, dall'indifferenzia- zione, e che solo l'intervento di una vittima sacrifïcale e délia dimensione ritua- le-religiosa puô attutire.
     L'asse tematico délia violcnza puô ovviamente offrire una fertile pista di ri- cerca nell'ambito délia letteratura médiévale5. Corne suggeriscono i curatori del  volume nell'introduzione, è immediato imparentare la società médiévale, priva  com'era di un sistcma giudiziario centralizzato, allé società délia violenza di cui ci raccontano gli antropologi. Ma, continuano Heckmann e Lenoir, la società médiévale non coincide con quelle primitive, consiste invece in una «zone grise»6, un'entità mediana che si approssima verso un sistema giudiziario. Si trat-terà quindi di indagare i limiti di una nctta sovrapposizione délie elaborazioni di Girard al mondo médiévale c, in particolare, addentrandosi nel campo letterario, di tener présente che i tcsti possono accogliere altro rispetto al mimetismo, alla violenza, al meccanismo sacrifïcale, che i testi medievali, essendo pregni di cristianesimo, se possono contencrc schemi arcaici, possono contemporaneamente operare una loro messa in discussione: «une lecture girardienne est pourtant possible, reconnaissant et dévoilant l'écart entre la théorie des structures sociales et la structure littéraire du récit médiéval»7.
     La prima parte del volume, dcdicata al romanzo arturiano, è inaugurata proprio da uno scritto di Girard, uno dci pochi dedicati alla letteratura médiévale, la traduzione franccse di un saggio su Yvain, comparso in inglese nel 19908.
     Al centro délia trattazione l'idca che la reputazione cavalleresca e lo spirito di competizione da qucsta alimcntato siano posti da Chrétien al vertice délia struttura del racconto e che ogni altro elemento vi sia subordinato. I testi di Chrétien sarebbero pcrcorsi costantcmcnte dalla domanda 'chi è il miglior cavalière?', senza che a qucsta possa rispondere un'autorità estema: sono proprio i cavalieri a finire per ammirarc il migliore più di se stessi. In un inarrestabile movimento compétitive, in cui ciascun personaggio funge, insieme, da rivale e da modello per un altro, i tcsti proporrebbero suggestioni di sdoppiamenti, raddoppiamenti, specularità idcntitarie. Girard colloca al centro del saggio il combattimento di Yvain c Gauvain, il principio di rivalità che lo anima, la divisione interna a ciascuno dci due pcrsonaggi tra amore e odio per l'avversario-model-lo, l'essere proicttati verso lo scopo di «devenir Punique objet d'admiration et de désir de tous les autres, et surtout de son adversaire»9, per arrivare - forse un po' ingenuamente - a parlarc di Yvain e Gauvain in termini di doppio, corne suggerirebbe l'assonanza dei nomi.
     Assoggettata all'anirna competitiva délia cavalleria, ogni altra costituente del mondo romanzesco passercbbc in seconde piano e anche la dimensione ses-suale non avrebbe altra matrice se non quella délia competizione mimetica. Pro-prio nel romanzo à'Yvain l'irnpiicazione femminile del lato competitivo délia cavalleria appare in maniera estrcma: la vedova Laudine, che s'innamora del-l'uccisore del marito, è vittima del contagio del desiderio mimetico, dell'attra-zione irresistibile che csercita su tutti, uomini e donne, la targa di miglior cavalière: «La terrible vérité est qu'elle tombe amoureuse non en dépit de ce qu'Y-vain a fait à son mari, mais à cause de ce qu'il lui a fait. Elle tombe amoureuse du champion»10.
     In Chrétien, corne in tutti i grandi scrittori, la retorica dell'ossimoro ripro-pone «le drame humain fondamental de la pierre d'achoppement mimétique»",  che, asserisce Girard, ncssuna intcrpretazione psicoanalitica, sociale o linguisti- ca potrà mai cogliere picnamente.
     Nel saggio si legge in filigrana - ma neanche troppo - la caparbia presa di  distanza di Girard dal freudisme: «la compétition est l'âme du sexe, et non la li bido freudienne»12. Girard torna dunque a insistere, dopo le entiche a Freud  esposte in La violence et le sacré e nelle pagine di Des choses cachées depuis la  fondation du monde dedicatc alla 'mitologia psicoanalitica', sulla pretesa estraneità délia sua teoria del desiderio mimetico alla teoria freudiana, che, pur es- sendosi avvicinata a qucllo che lui avrebbe poi descritto, non riesce a cogliere  l'idea di desiderio corne desiderio triangolare, rnediato da un terzo, ma restereb- be vincolata al complesso edipico, in cui il desiderio per l'oggetto matemo è intrinseco e primario. E, se Freud parla d'identificazione con il padre13, sembran- do quindi aprirsi alla mimesi, in realtà non la teorizzerebbe mai corne tratto ba- silare délia natura umana, cssendo l'identificazione con la figura patema sempre  secondaria - e seconda - rispctto al desiderio oggettuale per la madre.
      Di là dalla questione délia rivalité tra la teoria freudiana e quella girardiana,  che mi sembra egregiamentc csposta e risolta da Giovanni Bottiroli14, è innega- bile che le riflessioni di Freud sulla nozione d'identificazione, che si trovano  sparse già in alcune lettere a Fliess dcl 1896'5, sull'«assimilazione di un lo a un  lo estraneo, in conseguenza délia quale il primo lo si comporta sotto determinati  riguardi corne l'altro, lo imita, lo accoglie in certo quai modo in se»16, non siano  cosi lontane dalla mimcsi girardiana. La collaborazione dei due punti di vista  potrebbe senz'altro essore fruttuosa nell'analisi letteraria, in una ricerca che si  proponga d'indagare le rapprescntazioni del soggetto di cui i testi sono latori e  le modalità diegetiche seconde cui cssi realizzano queste rappresentazioni.
     Dedicato a Yvain anche il saggio di Nicolas Lenoir, «Yvain, la 'merveille  provée'. Figures et critique de la Royauté Sacrée»17, in cui si procède a un'applicazione délie tcorie di Girard al fine di «tenter de rendre compte de la figuration et de la signification des mythes et des rites qui forment la matière estrange  des romans de Chrétien»'8. Lenoir vuole dimostrare che, se è il mito a ispirare la  letteratura e le avvcnture dell'eroe, è l'analisi combinatoria e critica del rito che gênera il romanzo. Propone a questo scopo un'analisi del motivo mitico délia fontana meravigliosa, rifacendosi alla vccchia ipotesi di Nitze19, che collegava il rito délia fontana con il rituale dcl rc-sacerdote di Nemi, in cui riconoscere la figura délia royauté sacré teorizzata da Girard.
     Jean-Jacques Vincensini («René Girard en Brocéliande. Mimétisme et rivalité révoquée dans le motif de la 'Libération d'une femme injustement punie par immersion'»)20 présenta un'analisi dcl motivo che vede una donna costretta a immergersi in una fontana o in un lago, nei testi L 'âtre périlleux^, Le Haut Livre du GraaP e nella Continuation de Perceval di Gerbert de Montremi23. La parabola délia donna punita dal marito geloso che F accusa di mancanza di fe-deltà, ma poi liberata c vendicata da un rivale, è attraversata alla luce délia teo-ria del desiderio mimetico di Girard, dell'inserimento délia sessualità nell'alveo délia rivalité, ma poi immcssa da Vincensini in un discorso impemiato su «Feffort vivace au Moyen Age pour inscrire le corps et ses régulations naturelles dans la culture, le pensable et le social»24 e su una dialettica ordine-disordine che, attraverso un simbolismo dci liquidi - acqua e sangue - vorrebbe rappre-sentare il necessario annicntamcnto di un uomo a-culturale e Findispensabile «reconstitution sanglante de l'ordre de la culture»25.
     Dedicati alla chanson de geste \ saggi di Philippe Haugeard, «Envie, violence et sacré dans Girart de Roussillon. Lecture anthropologique et interprétation politique d'une chanson de geste»26, di Hubert Heckmann, «Théologie-fiction: Images du sacrifice rédempteur dans Ami etAmile»27, di Béate Langenbru-ch, «Trouble à la cour de Charlemagnc dans les Narbonnais. Les relation franco-allemandes épiques à la lumière du désir mimétique»28.
     Haugeard si sofferma sullc dinamiche del conflitto nella canzone di Girart de Roussillon2^ conflitto che si estcnde alla collettività intera, in un'esasperata spirale di violenza dovc, «comme dans la crise mimétique girardienne», scrive Haugeard, «la violence semble devenir elle-même objet du désir»30. Volto a di-mostrare corne una lettura girardiana permetta di far apparire le «invariants anthropologiques de la violence collective»3', anche questo saggio pone Fac-cento sulla questione, insicmc cstetica e antropologica, del doppio. Secondo Gi-rard, nella tragcdia greca, riflesso délia crisi sacrificale o mimetica, i rivali sono dei doppi e la réciprocité délia violenza diventa un valore estetico, con le oppo- sizioni di tratti simmetrici che è capace di elaborare. La crisi sacrificale è «une crise des différences, c'est-à-dire de l'ordre culturel dans son ensemble»32 e il  venir meno degli scarti differenziali tra gli individui, con la conseguente impos sibilité délia messa a fuoco di una posizione précisa rispetto all'altro da se, mina  l'ordine culturale. Ncl testo epico, esattamente corne nella tragedia greca, «les  rivaux sont des doubles et le texte épique multiplie les effets de miroir qui si gnalent ou reproduisent leur identité ou leur ressemblance»33. Se, nelle teorizza- zioni di Girard, é la dimcnsione del sacro ad arginare la violenza délia crisi, nel  mondo epico la corrispettiva funzione strutturale sarà esercitata dall'ordine poli- tico feudale, che Girart ccrca di far esplodere e Carlo s'impegna a ripristinare.
     Heckmann affronta i paradossi délia canzone Ami et Amile34, dove Dio ac corda il suo aiuto a una coppia di sosia che scambiano la loro identità durante un'ordalia, alla luce délia teologia di Anseimo di Canterbury e dell'antropologia di René Girard, mcntre Langenbruch conduce un'analisi sulla rappresentazione délia violenza nella canzone Les Narbonnais^!, delineando la visione che l'epo-pea médiévale offre dcgli allemands, per concludere che «il apparaît que le désir mimétique girardien a son rôle à jouer dans le processus du nation-building médiéval»36.
     Nella terza parte dcl volume, dedicata a narrazioni non inquadrabili in un génère ben précise, Karin Ueltschi («Le Vieillard Temps. Rois mehaigniés, Ma-nekines et rédempteurs»)37 proponc, partendo da Le Roman de la Manekine di Philippe de Rémi38, alcunc riflessioni sul tema médiévale del rinnovamento del tempo, délia nécessita per la société di una purificazione, che passa attraverso un rito sacrifïcale, in scguito al quale si avvia un nuovo cicio, seconde una logi-ca di sacrificio e rcdcnzionc, di morte e resurrezione, che sembra penetrare se-manticamente l'edificio lettcrario médiévale.
     Bertrand Rouziés-Léonardi («Le roman d'Andronic, du bouc à F agneau»)39 analizza invece la figura di Andronico I Comneno40 nella sua influenza sulFim-maginario médiévale, figura ncgativa, novello Giuda, capro espiatorio - visto seconde le prospcttivc girardianc4' -, la cui morte è un evento sacro e il cui ro-manzo è prossimo al romanzo délia passione.      Dedicato al Renart il saggio di Dominique Boutet («Violence, mimétisme  et dérision: Renart est-il un bouc émissaire?»)42. La rivalité tra Renart e Ysen- grin puô rinviare al desidcrio mimctico? Renart puo essere definito un capro  espiatorio? Con le dovutc prccisazioni, Boutet risponde di si a queste demande.  La dimensione del capro espiatorio, che pare cosi anomala se pensata per un  personaggio corne Renart, si colloca per esempio nella ricezione del testo da parte degli autori délie diverse branches, nella diacronia délia fortuna del ro-manzo di Renart, fino alla mcssa in scena, in Renart le Nouvel, dell' «immobilisation du goupil au sommet de la roue de Fortune»43, attraverso cui «Renart est devenu en quelque sorte le bouc émissaire de la société médiévale du XIII siècle en même temps que son alibi»44.
     Nei casi di pubblicazioni corne questa, si sa, il rischio è di fimre per conce-dere troppo all'autorc da cui si prcndono le rnosse e, anziché illuminare i testi, usarli per convalidare una detcrminata visione teoretica, per far vedere corne e quanto funzioni benc. Qui non accade: le teorie girardiane sono sottoposte a un puntuale vaglio critico c spcsso si mostra corne i testi letterari oitrepassino strut-ture e scherni di dccodifica.
     I meriti si spingono pero più in là, in quanto, con tutte le difficoltà e le incer-tezze metodologichc e analitiche tipiche di un'operazione che puô contare su po-chi precedenti, questo volume lascia intravedere la fertilità délie prospettive che possono essere apertc da un approccio teorctico - qui di taglio prettamente antro-pologico - al testo médiévale, ancora troppo spesso reso oggetto esclusivo di operazioni strettamente filologiche. In particolare, i saggi qui raccoiti mostrano bene che parlare di rapport! tra antropologia e letteratura non significa impegnar-si a rinvenire nci testi tracée di fatti etnografici, ma, riprendendo Favvertenza di Marie Scarpa, «d'étudier comment [la littérature] se les réapproprie, dans sa logique spécifique, comment elle en est 'travaillée' dans son écriture même»45.
     C'è dell'altro. Bcnché le tesi di Girard sul desiderio, la violenza, la natura del rito e délia religionc abbiano acquistato, con la pubblicazione di La violence et le sacré nel 1972, la portata di una teoria antropologica, noi riconosciamo gli embrioni di quella teoria in un libro che non puo che definirsi un libro di critica letteraria: è leggendo Cervantes, Dostoevskij, Flaubert, Proust che Girard, undi-ci anni prima, avcva claborato in Mensonge romantique et vérité romanesque la sua teoria del desiderio mimetico, chc oggi troviamo applicata m questa raccolta a testi del xil e xm sccolo. Occasione per riflettere su corne bisognerebbe mette-re da parte le remore nelFutilizzazionc di teorie nate da un corpus di testi mo-demi per il tcsto médiévale, in quanto una teoria, se ben fondata, puô contenere elementi che travalicano i confini di cpoche e culture, trascendono il rischio del-l'anacronismo, perché dicono qualcosa sul corne, perché e privilegiando quali oggetti, l'uorno ncl suo percorso si è raccontato délie storie.
     Georges Devereux mctteva in guardia dall'approccio, nelPindagine sull'u-rnano, basato su un solo metodo bon definito, che rnaschererebbe una forma di difesa, d'isolamcnto, di protczionc rispctto all'angoscia di poter scoprire il se nell'altro46. La sfîda c il rischio dcil'anacronismo, l'ausilio dei risultati raggiunti dall'antropologia, dalla psicoanalisi, dalle neuroscienze sono strumenti preziosi nelFedificazione di un dialogo tra noi e i testi medievali, che, ben lontano dal-l'annullare la loro alterità, promette piuttosto un nostro slancio di apertura verso questi47.


                                                                Teodoro PATERA
                                                          Università di Macerata

1 Dell'abbondante bibliografia si scgnalano G. RIZZOLATI - L. FOGASSI - V. GALLESE, «Neurophysiological Mechanisms Underlying thé Understanding and Imitation of Action», Nature Re-views Neurosciences, 2, 9, 2001, pp. 661-670; V. GAI.LESE, «Thé Two Sides ofMimesis, Girard's Mimetic Theory», Embodicd Simulation and Social Identification. Journal of Consciousness Studies, 16, 4, 2009, pp. 21-44.
2 René GIRARD, Mensonge romantique et vérité romanesque, Paris, Grasset, 1961.
3 René GIRARD, La violence et le sacré, Paris, Grasset, 1972.
4 René GIRARD, Des choses cachées depuis la fondation du monde, Paris, Grasset, 1978, p. 15.
5 Si veda pcr esempio il volume La violence au Moyen Age, Senejîance, 36, Aix-en-Provence, 1994.
6 Mimétisme violence sacré, p. 2.
7 Ivi, p. 3
8 René GIRARD, «Amour et Haine dans Yvain», in Mimétisme violence sacré, pp. 7-27. Traduzio-ne di Nicolas LENOIR del tcsto inglesc «Love and Hâte in Yvain», in Modernité au Moyen Age. Le défi dupasse, publié par Brigitte CA/KLLES et Charles MÊLA, Publications de la Faculté des lettre de Genève, Genève, Droz, 1990, (Recherches et Rencontres, n. 1), pp. 249-262.
9 /v/,p.21.
10 /v/,p. 14.
11 7v/,p.27.
12 Ivi, p. 14.
13 Sigmund FREUD, «Psicologia délie masse e analisi dell'io», in Id., Opère, Tonno, Bonnghien, 1980, vol. 9, pp. 257-330.
14 Giovanni BOTTIROLI, «Identità/ idcntificazione. Una mappa dei problemi a partire da Freud», in  Id., Jacques  Lacan, Arte linguaggio desiderio, Bergamo, Sestante Edizioni, 2002, pp. 205-255.  
15 Sigmund FREUD, Lettere a Fliess (1887-1904), Torino, Boringhieri, 1986.  
16 Sigmund FREUD, «Introduzionc alla psicoanalisi», in Id., Opère, vol. 11, pp. 112-284, a p. 175.
 17 Mimétisme, violence, sacré, pp. 29-55.  
18 Ivi, pp. 29-30.  
19 William A. NITZE, «A new source of Yvain», Modem Philology, 3, n. 3 (1905), pp. 267-280.
20 Mimétisme violence sacré, pp. 57-72.
21 L'episodio figura esclusivamcnte nel manoscritto BnF, Fr. 1433. Si veda l'appendice di L 'âtre périlleux. Roman de la table, édité par Brian WOLEDGE, Paris, Champion, 1936 pp 212-233 vv 41-48.
22 Perlesvaus: Le Haut livre du Graal, texte établi, présenté et traduit par Armand STRUBEL, Paris, Lettres gothiques, 2007, a p. 204.
23 Gerbert de Montreuil, Continuation de Perceval, édité par Marguerite OSWALD Paris Champion, 1975, t. III, vv. 15004ss.
24 Mimétisme, violence, sacré, p. 65.
25 /W,p.72.
26 /vz, pp. 75-96.
27 Ivi, pp. 97-115.
28 7v;,pp. 117-146.
29 G/rar/ rfe Roussillon, chanson de geste publiée par W. M. HACKETT, 3 vol., Paris, SATF, 1953-1955. Edizione riprodotta, tradotta, presentata e annotata da M. DE COMBARIEU DU GRÈS et G. GOUIRAN, La Chanson de Giruri de Roiissillon, Paris, Librairie Générale Française, Lettres Gothiques, 1993.
30 7v/,p.81.
31 7v/,p.95.
32 GIRARD, La Violence et le sacré, p. 76.
33 Mimétisme, violence, sacré, p. 82.
34 Ami et Amile, chanson de geste, édition de Péter F. DEMBOWSKI, Paris, Champion, 1969; Jean DUFOURNET, Ami et Amile, une chanson de geste de l'amitié, Paris, Champion, 1987.
35 Les Narbonnais. édition de Hermann SUCHIER, Paris, Société des anciens textes français 1898 2t.
36 Ivi, p. 145.
37 7v/,pp. 149-165.
38 Philippe de Rémi, Le Roman de la Manekine, édition de Barbara N. SARGENT-BAUR, Amsterdam-Atlanta, Rodopi, 1999.
39 Mimétisme, violence, sacré, pp. 167-186.
40 Chronique d'Ernoul et de Bernard le Trésorier, édition de M. L. DE MAS LATRIE, Paris, Société de l'Histoire de France, 1871.
41 René GIRARD, Le Bouc émissaire, Paris, Le Livre de Poche, 1982.
42 Mimétisme, violence, sucré, pp. 187-206.
43 Ivi, p. 204.
44 76^.
45 Marie SCARPA, «Pour une lecture ethnocritique de la littérature», Littérature et sciences humaines, 2001, pp. 285-297, a p. 288.
46 Georges DEVEREUX, From Anxiety to Method in thé Behavioural Sciences, La Haye-Paris, Mouton, 1967.
47 Per un approfondimento di questi argomenti si rimanda a Nathalie KOBLE - Mireille SÉGUY, «L'audace d'être médiévistes», in Le Moyen Age contemporain. Perspectives critiques, a cura di Nathalie KOBLE - Mireille SÉGUY, Littérature, 148, 2007, pp. 3-9 e Médiévalisme, modernité du Moyen Age, a cura di Vincent Ferré, Itinéraire!; LTC, 2010.
1 Alain CORBELLARI, Joseph lîédier écrivain et philologue, Genève, Droz, 1997. Il testo è stato recensito da Cesare Segre su questa rivista 11/2001, pp. 82-91.









Mimétisme, violence, sacré : approche anthropologique de la littérature narrative médiévale Mimétisme, violence, sacré : approche anthropologique de la littérature narrative médiévale
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vendredi 15 mars 2013

Valeurs mutualiste évoque le titre Il faut apprendre à lire

Apprentissage de la lecture : des exercices répétés, de la rigueur, de la volonté et du courage, avant toute chose

Qu'est-ce qu'apprendre ? Qu'est-ce que lire ? Qu'est-ce qu'apprendre à lire ? Comment travailler en classe ? Dans cet ouvrage qu’il dédie aux maîtresses du Cours Préparatoire, Pierre Muckensturm, praticien de l'école et philosophe du savoir, fait le point sur ces quatre questions. Après une présentation de l'état des connaissances en ce qui concerne les mécanismes cognitifs et des principes généraux qui président à l’apprentissage de la lecture, il explicite sa conviction : apprendre à lire consiste à acquérir un savoir-faire, comme apprendre à nager, coudre, skier, etc. Autrement dit, savoir lire relève d’un apprentissage rigoureux et nécessite la répétition d’exercices. Seul un travail régulier et méthodique, dirigé et encouragé par un guide qualifié, maître dans l'art de transmettre le savoir-lire, peut permettre à l'élève de progresser pas à pas et d’atteindre ce but. Pierre Muckensturm expose comment mettre en œuvre ce travail en classe. Convaincu qu’«à la fin du Cours Préparatoire, tous les élèves doivent être en possession de tous les outils du savoir-lire», que tous le peuvent et qu’accéder à la lecture, c’est accéder à la liberté, il invite ses concitoyens et collègues enseignants à faire pour cela le choix de l'exigence. Pour lui, c'est une affaire de volonté collective et de courage.

"Il faut apprendre à lire. Comment ? Pourquoi ?", par Pierre Muckensturm, éditions Paradigme, 15€.


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lundi 21 janvier 2013

Le Coin de table, la revue de la poésie évoque Michel Régnier, Brûlure des villes


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lundi 5 novembre 2012

JEANNE D'ARC, LA VOIX DES POÈTES dans Le Coin de table, la revue de la poésie

JEANNE D’ARC L’INSPIRATRICE

En présentant la belle anthologie poétique que Bernard Lorraine et Anne Lise Diez avaient rassemblée autour de Jeanne d’Arc, nous indiquions voilà un an, dans notre numéro 32 (novembre 2007), que plus d’un million et demi de pages étaient consacrées sur Internet à la « bonne Lorraine qu’Anglais brûlèrent à Rouen ». À la date de parution d’une nouvelle et aussi belle anthologie, Jeanne d’Arc. La voix des poètes, regroupant 108 poèmes inspirés par Jeanne, en mai dernier, c’étaient 2 360 000 pages qu’on pouvait consulter sur Jeanne d’Arc ; en septembre, 3 600 000. Dans leur intéressante préface, les deux auteurs de ce nouveau recueil esquissent plusieurs raisons de cet intérêt croissant. C’est que Jeanne apparaît comme une sainte peut-être, une héroïne certainement, on pourrait dire surtout un symbole des valeurs que méprise et bafoue notre monde mercantile. Comme le précisent les auteurs, « ce qu’on voit le plus souvent en elle, c’est un admirable exemple de piété, de courage, de persévérance, de fidélité. Ce qui séduit aussi, c’est sa jeunesse, son enfance et sa simplicité, sa clarté ».

  La préface donne des signes étonnants de la constante popularité de Jeanne, les uns venant d’une école du territoire des Komis, les autres du Daghestan.

L’anthologie offre des exemples poétiques nombreux de l’universalité de l’histoire de notre petite bergère lorraine de dix-sept ans, aussi bien dans le temps, puisque l’ouvrage commence par un poème de Christine de Pizan (1429) et se termine par un autre d’Oskar Denger (2002) — que dans l’espace, puisqu’on y trouve en langue originale et en traduction une quarantaine de poèmes venant de langues étrangères.

Le livre comporte également des notices biographiques précises, sérieuses, bien documentées, ainsi qu’un index, le tout constituant un bel ouvrage, d’une présentation et d’une typographie très soignées.

Depuis près de six cents ans, l’histoire de « la petite Jeanne de France », a inspiré des poètes très divers, qui n’étaient sans doute pas tous croyants comme l’était Charles Péguy, un inspiré majeur, mais qui furent tous sensibles à une légende qu’ils contribuèrent à transformer en un mythe extrêmement fécond et, au fond, tellement nécessaire à nos espérances.

Noël Prévost

La Pucelle

Quand déjà pétillait et flambait le bûcher,

Jeanne qu’assourdissait le chant brutal des prêtres,

Sous tous ces yeux dardés de toutes les fenêtres

Sentit frémir sa chair et son âme broncher.

 

Et semblable aux agneaux que revend au boucher

Le pâtour qui s’en va sifflant des airs champêtres,

Elle considéra les choses et les êtres

Et trouva son seigneur bien ingrat et léger.

 

« C’est mal, gentil Bâtard, doux Charles, bon Xaintrailles,

De laisser les Anglais faire ces funérailles

À qui leur fit lever le siège d’Orléans. »

 

Et la Lorraine, au seul penser de cette injure,

Tandis que l’étreignait la mort des mécréants,

Las ! pleura comme eût fait une autre créature.

Paul Verlaine (1870)

Jeanne d’Arc. La voix des poètes. De Christine de Pizan à Léonard Cohen. Textes réunis par Yves Avril et Romain Vaissermann. 316 p. 25 €.


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mardi 28 août 2012

JEANNE D'ARC, LA VOIX DES POÈTES dans Valeurs actuelles

Les textes sont dans leur langue d'origine et traduits en français.

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jeudi 10 novembre 2011

L'INSPIRATION ANTIQUE ET ROMANTIQUE D’ANDRÉ CHÉNIER Par Noël Prévost dans la revue poétique Coin de Table

On connaît bien d’André Chénier (1762-1794) quelques poèmes très célèbres comme sa Jeune Tarentine, ou ses Ïambes, voire un vers séparé de tout : « Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques », mais moins son œuvre complète, depuis que l’édition de Paul Dimoff (Delagrave) n était plus disponible malgré des rééditions multiples qui ont témoigné de l’accueil de cette poésie encore au siècle dernier (1908, 1911, 1919, 1956, 1966)- Le tome II d’une nouvelle édition vient rendre disponibles à nouveau des poèmes plus souvent cités que lus.

Il est agréable de constater que cet ouvrage a reçu 1 aide du centre National des Lettres qui nous a si souvent donné l’occasion de critiquer l’emploi de notre argent en des subventions ridicules et scandaleuses. Ce n’est pas le cas ici. Mais il faut prévenir le lecteur qu’il s’agit d’une édition critique, c’est-à-dire que si les textes sont impeccables et sûrs, les notes sont imposantes (heureusement séparées) : 242 pages de poèmes sont suivies par 303 pages de notes et variantes, intéressantes, d’ailleurs.

À la ré-découverte du Chénier de ce recueil, on retrouve d abord la toute puissante influence directe des poésies grecques et latines dans ses Bucoliques, des œuvres antiques qui ont formé et inspiré des générations — jusqu’à notre inculture d’aujourd’hui.

Que te ferai-je ? dis babillarde hirondelle ?

Veux-tu qu’avec le fer je te coupe ton aile ?

Cette traduction d’un poème d’Anacréon nous renvoie à celle de Baïf, La belle aronde, et témoigne de la permanence de cette influence. Notre culture, ou plutôt ce qu’il en reste, vient de la richesse antique par l’intermédiaire de tous ces poètes, ou de ce qui en est lu aujourd’hui…

Si l’édition des œuvres de Chénier est difficile à établir, c’est parce que sa mort précoce sur l’échafaud ne lui a permis de laisser que des feuillets séparés, mélangés, sans classement. Et pourtant, il savait ce qu’il voulait avec beaucoup de précision.

Ses poèmes sont souvent de simples fragments reliés par des textes de prose indiquant ce qu’il projetait d’écrire, dans une perspective déjà ébauchée et dominée par sa pensée. C’est un aspect très émouvant. On peut citer, au hasard, quelques lignes dans un chapitre intitulé « Le Lavoir », avant des vers isolés, d’autres regroupés en poèmes :

II en tant taire une [poésie] intitulée Le Lavoir en imitant Nausicaa, et le premier chœur de l'Hippolyte. De jeunes filles lavant leurs habits  et ceux de leurs frères. […

   On trouve donc des lignes de points, tracées par Chénier lui-même, dans l’attente de vers à venir, que sa mort l’empêcha à jamais d’écrire. On sait qu’il fut exécuté trois jours avant la chute de Robespierre, qu’il retrouva sur la charrette conduisant au supplice son ami Roucher et qu’ils récitèrent tous deux le début d'Andromaque : « Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle/Ma fortune va prendre une face nouvelle… ». Terrible sang-froid.

Chômer ne fut pas seulement le poète bucolique qui nous charme (le bucoliaste} par des pièces brèves. Son long poème L'invention, qu’on retrouve ici, montre sa vigueur.

On retrouve, à l’occasion, son esprit satirique (celui des îambes} dans ses Epîtres, même s’il dit, se référant à La Fontaine (qui lui-même s’inspirait de l’Esope antique) qu’il est prêt à « mépriser les raisins qui sont trop hauts pour moi ». Il dénonce les politiques et les poètes serviles de son époque (probablement vers 1786/7, nous disent les notes). Aux reproches sanglants d’un vers noble et sévère Ce pays toutefois offre une ample matière : Soldats tyrans du peuple obscur et gémissant, Et juges endormis aux cris de l’innocent ; Ministres oppresseurs dont la main détestable Plonge au fond des cachots la vertu redoutable. Mais loin qu’ils aient senti la fureur de nos vers, Nos vers rampent en foule aux pieds de ces pervers, Qui savent bien payer d’un mépris légitime Le lâche, qui pour eux feint d’avoir quelque estime.

On trouve déjà dans son long poème L'invention (392 vers, plus 95 vers de « Fragments préparatoires »), qui est en quelque sorte l’exposé de sa poétique, une préfiguration assez étonnante du romantisme qui nous fait comprendre ce que nous aimons en Chénier : cette alliance de l’exaltation poétique et de révocation rêvée de l’Arcadie. C’est un aspect de l’inspiration inexplicable — donc « divine » — du poète, à l’opposé du « rimeur » sans âme pour qui « La langue se refuse à ses demi-pensées ».

Celui qu’un vrai démon presse, enflamme, domine,

Ignore un tel supplice : il pense, il imagine ;

Un langage imprévu, dans son âme produit,

Naît avec sa pensée et l’embrasse et la suit ;

Les images, les mots que le génie inspire,

Où l’univers entier vit, se meut, et respire,

Source [….] que rien ne peut tarir,

En roule à son cerveau se hâtent de courir.

Tel le bouillant poète en ses transports brûlants,

Le front échevelé, les yeux étincelants,

Erre, tourne à grands pas, seul, en d’épais bocages,

S’il pourra de sa tête apaiser les orages

Et secouer le Dieu qui fatigue son sein.

De sa bouche à grands flots ce Dieu dont il est plein

Bientôt en vers nombreux s’exhale et se déchaîne.

Cette mystérieuse « inspiration » est un mythe qui nous vient de cette antiquité toute entière inspirante pour André Chômer. Si nous ne croyons plus aux interventions des Muses, son mystère subsiste et reste assez étonnant pour que les Surréalistes du siècle dernier s’en tussent encore réclamés. On souhaite que les poètes d’aujourd’hui en reçoivent toujours quelque influence.

— André Chénier, Œuvres poétiques. Tome II : Bucoliques-, Épitres et poétique, L'invention. Édition critique par Georges Buisson.


 


 


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Anthologie des troubadours Paul FABRE dans Coin de table, la Revue de la poésie

   Réunissant des œuvres de 96 poètes (sur environ 400 troubadours répertoriés), cette édition bilingue (occitane et traduction française) de 143 textes est un véritable trésor, avec un remarquable avant-propos de présentation d'une trentaine de pages: «un territoire, une langue, une poésie, un nouveau rapport entre les hommes». Si la langue d'oïl a triomphé et si le francien nous a donné le français pour des raisons politiques, c'est bien en langue d'oc « que naît la première poésie du temps en Europe », à la fin du XII siècle.

   C'est avec elle que naît aussi une « éthique de l'amour », « un rapport nouveau entre les hommes et les femmes », « un véritable humanisme qui dépasse la relation amoureuse pour devenir une exigence universelle ». On n'a que l'embarras du choix dans ce beau livre. Par exemple cette frohairitz (troubadouresse), comtesse de Die, au XIIe siècle, une de nos premières femmes poètes.

 

Estat ai en grand consirièr
Bèls amics, avinents e bo (n) s,
Qyora-os tenrat en mon poder,
E que jagués ab vos un ser,
E que-os dès un bais amorós,
Sachatz grand talent n'auria
Que-os tengués en lóc del marit,
Ab ço qu'aguéssetz plevit
De far tot çó qu'ieu volria.

         Comtessa de Dia

Bel civil, gracieux et bon,
Si je vous tenais en mon pouvoir,
Que je fusse couchée un soir avec vous,
Et que je vous donne un baiser d'amour,
Sachez que j'aurai grande envie
De vous tenir embrassé au lieu de mon mari,
Pourvu seulement que vous m'ayez promis
De faire tout ce que je voudrai.


Anthologie des Troubadours : XIIe-XIVe siècle - Paul Fabre Anthologie des Troubadours : XIIe-XIVe siècle - Paul Fabre
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